Israel denies killing Palestinian scientist Fadi al-Batsh in Malaysia

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Israel's defence minister has denied that spy agency Mossad had assassinated Palestinian lecturer Fadi al-Batsh who was shot dead in Malaysia on Saturday
Israel’s defence minister has denied that spy agency Mossad had assassinated Palestinian scientist Fadi al-Batsh who was shot dead in Malaysia on Saturday

Israel’s defence minister has dismissed suggestions that spy agency Mossad had assassinated a Palestinian lecturer who was shot dead in Malaysia on Saturday.

Avigdor Lieberman said it was likely that Fadi al-Batsh, 35, was killed as part of an internal Palestinian dispute.

Two men on a motorbike fired 10 shots, killing the Hamas member on a street in the capital, Kuala Lumpur.

His family has accused Mossad of being behind the killing.

Mr Lieberman told Israeli radio that the scientist was a rocket expert and “no saint”.

“He wasn’t involved with improving the electricity grid or infrastructure and water. We have heard the announcements by the heads of the Hamas taking responsibility for the man, explaining he was involved with the production of rockets, with improving the rockets’ accuracy,” he is quoted as saying by Haaretz newspaper.

Asked when he had heard about the killing, he said: “We heard about it in the news. There’s a tradition at this point among terrorist organisations of blaming Israel for every settling of accounts.

“A settling of scores among terrorist organisations, among terrorists, among various factions, is something that we see from time to time. I assume that’s also what occurred in this case.”

Hamas has accused Israel of conducting assassinations of its experts abroad in the past, although Mossad has never confirmed such operations.

A recent case involved the killing of a Tunisian national who was believed to be a Hamas drone expert in 2016.

Ongoing investigation

On Sunday, the inspector general of the Malaysian police, Mohamad Fuzi Harun, gave an update on the investigation.

“A comprehensive investigation is ongoing at the moment. Was he killed by a live bullet? My answer is yes. The post-mortem is ongoing now; we will give details later.”

It was not clear what the possible motive was, and so far no arrests has been made, he added.

Mr Batsh’s father, Mohamed, has accused Mossad of killing his son.

“One hundred percent, it is an assassination: Fadi had no enemies and is loved by the Palestinian, Arab and Malaysian communities and has pictures with the Malaysian prime minister.

“There are accusations only against the Israeli Mossad, and us, we accuse only the Israeli Mossad, and the Malaysian government should accelerate the investigation.”

Militants’ assassinations

Mr Batsh, who had lived in Malaysia for about 10 years, was a lecturer in electrical engineering.

Hamas said one of its members had been “assassinated”, describing him as a “martyr” – a term it usually uses for people killed by Israeli forces. However, it stopped short of directly accusing Israel of the killing.

In 1997, Mossad agents conducted a failed bid to kill Hamas leader Khaled Meshaal in Jordan by spraying poison into his ear.

The spy agency is also believed to have been behind the 2010 murder of top Hamas militant Mahmud al-Mabhuh, who died in a Dubai hotel.

Israel has never confirmed or denied involvement in his killing

BBC

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Comments

13 responses to “Israel denies killing Palestinian scientist Fadi al-Batsh in Malaysia”

  1. Balastinians are the world’s leading experts in practical sciences such as plane hijackings and suicide bombings. Not to forget their contributions to the science of off-roof-throwings. Not sure whining and mooching off Western money – two more fields they excel in – are “sciences”, though. More like “arts”. 🙂

  2. AlexanderAmproz Avatar
    AlexanderAmproz

    AVAIABLE in German and French.

    Tonight on ARTE TV you have “Thema” on Israel and Mossad
    It would be interesting to observed if it contains Germany and France Zionist propaganda
    https://www.arte.tv/fr/videos/073890-001-A/une-terre-deux-fois-promise-israel-palestine-1-2/

    Une terre deux fois promise : Israël – Palestine (1/2)

    (55 min.)

    Disponible du 23/04/2018 au 22/06/2018

    Disponible en direct : oui

    Prochaine diffusion le mardi 24 avril à 20h50

    Ce programme est disponible en vidéo à la demande ou DVD.

    logo

    À travers un riche fonds d’archives et les regards croisés d’historiens israéliens et palestiniens, Blanche Finger et William Karel remontent aux racines d’un conflit inextricable. Ce premier volet couvre la période qui va de 1896 (Theodor Herzl publie “L’État des juifs”) à 1948 (Ben Gourion proclame la création de l’État d’Israël).

    En 1896, Theodor Herzl, journaliste austro-hongrois inquiet de la montée de l’antisémitisme en Europe, publie L’État des juifs, dans lequel il prône la fondation d’un foyer national juif. La Palestine, destination définitivement élue par le mouvement sioniste en 1905, voit débarquer les premières vagues d’immigrants. Ils fondent les premiers kibboutzim, y cultivent les terres achetées aux Arabes. Initialement paisibles, les relations entre les deux communautés se tendent lorsque les Palestiniens réalisent que leur territoire est en train de leur échapper. Après la Première Guerre mondiale et le démantèlement de l’Empire ottoman, la Palestine passe sous mandat britannique. D’abord encouragée, l’immigration juive est drastiquement freinée après la grande révolte arabe de 1936. Les Britanniques, qui redoutent le ralliement des pays arabes aux puissances de l’Axe, entendent ainsi apaiser la colère des Palestiniens, menés par Amine al-Husseini, le grand mufti de Jérusalem et président du Haut Comité arabe, aux sympathies pronazies. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, alors que des milliers de rescapés de l’Holocauste cherchent un refuge, les autorités britanniques, campées sur leurs positions, les refoulent, favorisant ainsi la radicalisation des organisations sionistes. Paradoxalement, l’attentat du King David, le quartier général britannique, joue en faveur de ces dernières : le Royaume-Uni s’engage sur la voie du retrait et l’ONU adopte un plan de partage de la Palestine en deux États en avril 1947. l’Agence juive accepte, les Arabes de Palestine refusent. Dans un contexte de violences extrêmes, Ben Gourion proclame la création de l’État d’Israël le 14 mai 1948. Le lendemain, les pays arabes voisins envahissent l’ancienne Palestine mandataire. Victorieux de ce premier conflit, l’État hébreu s’empare de 26 % de territoires supplémentaires, tandis que 750 000 Arabes palestiniens sont contraints à l’exode.

    “Guerre sans fin”

    “Et c’est le début d’un aveuglement politique de plus en plus profond”, analyse l’historien israélien Élie Barnavi. Soixante-dix ans après la création de l’État hébreu, Blanche Finger et William Karel retracent la genèse de cette “guerre sans fin”, qui cristallise toujours les tensions au Proche-Orient. Les témoignages à la fois personnels et clairvoyants d’universitaires israéliens et palestiniens, qui ont vécu les événements de l’intérieur, se mêlent à de riches images d’archives – dont celles, poignantes, de l’exode des réfugiés – pour éclairer cette page cruciale de l’histoire contemporaine. Un documentaire limpide et mesuré, qui bannit la polémique au profit de la compréhension.

    Réalisation :

    Blanche Finger

    William Karel

    — Une terre deux fois promise : Israël – Palestine (2/2)
    https://www.arte.tv/fr/videos/073890-002-A/une-terre-deux-fois-promise-israel-palestine-2-2/
    (53 min.)

    Disponible du 23/04/2018 au 22/06/2018

    Disponible en direct : oui

    Prochaine diffusion le mardi 24 avril à 21h45

    Ce programme est disponible en vidéo à la demande ou DVD.

    logo

    À travers un riche fonds d’archives et les regards croisés d’historiens israéliens et palestiniens, Blanche Finger et William Karel remontent aux racines d’un conflit inextricable. Ce second volet couvre la période qui va de la création de l’État d’Israël en 1948 à la guerre des Six-Jours en 1967.

    Les portes désormais grandes ouvertes, Israël double rapidement sa population, les juifs en provenance d’Europe se mêlant aux juifs séfarades chassés des pays arabes. Aux difficultés d’intégration des seconds s’ajoute une situation économique alarmante qui contraint Ben Gourion à limiter progressivement l’immigration. En 1956, le Premier ministre subit un cuisant revers : sous la pression internationale, Israël et ses alliés français et britannique doivent se retirer du Sinaï égyptien, envahi en réaction à la nationalisation du canal de Suez par Nasser. Pendant que les Israéliens affrontent leur passé traumatique au procès Eichmann, les pays arabes s’unissent autour de la question palestinienne. La vague d’attentats commis par les fedayin de l’OLP (Organisation de libération de la Palestine, fondée en 1964) et la grave récession économique de 1965 poussent de nombreux Israéliens à quitter le pays. En juin 1967, après des mois d’escalade verbale et d’esbroufe militaire, l’État hébreu, qui instrumentalise un prétendu risque d’extermination, détruit l’aviation égyptienne et, profitant de la faiblesse de ses adversaires, annexe le Sinaï, la bande de Gaza, la Cisjordanie, la partie arabe de Jérusalem et le plateau syrien du Golan. À l’issue de la guerre des Six-Jours, un million d’Arabes passent sous administration israélienne et une nouvelle vague de réfugiés vient grossir celle de 1948. Les territoires occupés, qui devaient servir de monnaie d’échange aux négociations d’une paix rejetée en bloc par l’OLP, voient alors se construire les premières colonies.

    Réalisation :

    Blanche Finger

    William Karel

    Pays :

    France

    Année :

    2017

    — Entretien
    https://www.arte.tv/fr/videos/081442-001-A/entretien/

    (15 min.)
    Disponible du 24/04/2018 au 30/04/2018
    Disponible en direct : oui
    Prochaine diffusion le mardi 24 avril à 22h40
    Découvrez l’offre VOD-DVD de la boutique ARTE
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    Pays :
    France
    Année :
    2018

    1. AlexanderAmproz Avatar
      AlexanderAmproz

      — Mossad : des agents israéliens parlent
      https://www.arte.tv/fr/videos/062911-000-A/mossad-des-agents-israeliens-parlent/

      (92 min.)

      Disponible du 24/04/2018 au 23/05/2018

      Disponible en direct : oui

      Prochaine diffusion le mardi 24 avril à 22h55

      Découvrez l’offre VOD-DVD de la boutique ARTE

      logo

      Fondée sur les témoignages inédits d’anciens agents et dirigeants du Mossad, une plongée vertigineuse dans les coulisses des puissants services secrets israéliens.

      Créé fin 1949, moins de deux ans après la proclamation de l’indépendance d’Israël, le Mossad s’est imposé comme l’une des agences de renseignement extérieur les plus influentes au monde. “Il a été impliqué dans quasiment tous les événements des cinquante dernières années. Dans presque toutes les guerres, tout ce qui aurait pu arriver et ne s’est jamais produit”, confesse Ram Ben-Barak, qui en fut directeur adjoint de 2009 à 2011. Face à la caméra et aux questions – dont certaines balayées d’un revers de main – de Duki Dvor, d’anciens espions et responsables de haut rang évoquent, pour la première fois, leurs états de service : la capture d’Adolf Eichmann en 1960 à Buenos Aires ; la traque des commanditaires, palestiniens, de la sanglante prise d’otages des JO de Munich, en 1972, qui s’est soldée par la mort de onze athlètes israéliens ; le refus, opposé au shah d’Iran, de liquider l’ayatollah Khomeyni à l’aube de la révolution islamique ; la tentative d’empoisonnement ratée de Khaled Mechaal, l’un des leaders du Hamas, à Amman, en 1997…

      De l’intérieur

      Avec, en toile de fond, l’histoire tumultueuse du pays, ce documentaire captivant, où la réalité surpasse la fiction, lève un coin de voile sur les méthodes du Mossad, du recrutement aux dessous des opérations commandos en passant par la relation parfois perfide aux informateurs, ou conflictuelle avec le pouvoir politique. En explorant leurs trajectoires personnelles, il nous fait également pénétrer dans la psyché double et les dilemmes moraux des agents de renseignement : “Il est difficile d’être à la fois une personne intègre et une crapule”, explique l’un d’eux. Après l’exceptionnel The Gatekeepers de Dror Moreh, qui recueillait la parole de six anciens chefs du Shin Beth, le service de la sécurité intérieure d’Israël, un document passionnant, charriant un flot intarissable de questionnements éthiques et politiques.

      Réalisation :

      Duki Dror

      Pays :

      Allemagne

      Année :

      2017

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